Les vannes sont à nouveau ouvertes pour le constructeur de matériels d'irrigation Irrifrance. Le Premier ministre a rendu son arbitrage suite à la recommandation du ministre de l'Économie et l'entreprise héraultaise va de nouveau avoir droit à la couverture de ses activités à l'export par la Coface et aux financements de BpiFrance. Elle en avait été privée sans motif officiel déclaré mais en raison de la proximité de son propriétaire avec la famille Hassad au pouvoir en Syrie. Les 120 salariés étaient au chômage partiel depuis le 20 octobre.