« Le Sima est un salon ayant un impact très important sur notre budget et nous pensons qu’une meilleure rentabilité peut se trouver ailleurs. Sans cette participation, nous avons un champ de possibilité pour mettre en place d’autres actions de promotion de la marque et des ventes en 2020 », justifie François Doisy, le directeur général de la filiale française de Väderstad. Il rappelle, par ailleurs, la bonne santé économique de son établissement. Il a réalisé, en 2019, la troisième meilleure année depuis sa création en 1995. En outre, six ans après la présentation du Tempo, ce semoir monograine compte parmi les leaders du secteur. La maison mère suédoise, de son côté ne ralentie pas ses investissements. Elle a à nouveau agrandi de 5 000 m2 son site de production. L’investissement d’un montant de 20 M€ prévoit de développer l’automatisation de la production.
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Travail du sol et semis Pas de Sima pour Väderstad

Les succès commerciaux enregistrés par Väderstad sur le marché français ne l’ont pas encouragé à continuer à participer au Sima.
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