Naïo vient de convaincre plusieurs institutions financières, parmi lesquels Ecotechnologie gérée pour le compte de l’état par BpiFrance ainsi que Capagro, Demeter, Pymwymic et Codema à souscrire à une levée de fonds de 32 millions d’euros. Les investisseurs se sont, semble-t-il, montrés convaincus par les résultats et la stratégie de croissance de l’entreprise. Ce constructeur fondé à Toulouse en 2011 aurait doublé son chiffre d’affaires en un an. Après le premier robot maraicher Oz, lancé en 2013, puis, en 2018, Ted spécialisé dans la vigne, Naïo a lancé, cette année, deux autres solutions Orio et Jo. En tout, il a déjà mis en service 300 machines dans le monde. Il emploie 70 personnes et a ouvert une filiale à Salinas, en Californie.
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RobotisationNaïo trouve des financements

Naïo va pouvoir continuer à développer sa gamme de robots agricole et son implantation commerciale internationale.
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